Attak à la biblio Méjanes....

Récemment inscrite à la biblio pour cause d'inactivité du à une entorse de la cheville, me voilà partie chercher des bouquins !
Moi "- Bonjour Madame, je suis nouvelle, pourriez-vous m'indiquer le rayon gay...."
Méjanes "- heu, le rayon gay ?"
Moi :" wi, LGBTI comme lesbienne, gay, bi, trans, inter-sexe et inter-genre"
Méjanes "-ha, vous voulez dire homosexuel ?"
Moi :"wi, c'est ça...."
Méjanes "- On a pas de section spécialement homosexuelle, vous pouvez trouver ça à psychologie, psychiatrie, et je pense sociologie."
Moi : " Drôle de classement, je croyais pourtant savoir que l'OMS avait retiré l'homosexualité de la liste des maladies mentales".
Là, je sens que ça va coincer...
Moi : "et pour les romans, comment je fais s'il n'y a pas de rayon ?
Méjanes "-Il vous faut connaitre le titre ou l'auteur..."
......

Conclusion : Ne cherchez surtout pas à draguer le personnel de la Méjanes, vu leur classement, vous n'aurez aucune chance...

Perso, je suis habituée car j'étais lez quand c'était une maladie vu mon grand age mais tout de même, un jeune qui se cherche today et qui atterit au rayon psy, je trouve ça relou !
Donc, désormais, je demanderais à chaque fois le rayon gay et enfin le chef de la Méjanes pour qu'il m'explique son classement avant de sortir les dents....

Vous en pensez-quoi de tout ça ? Moi, ça me brise le clito grave de chez grave !-lol- !

Pour les librairies d'Aix, c'est kif-kif, mais ils me connaissent déjà... MDR !

que penser du fait qu'il n'y ai pas de rayon gay....belle question ça voudrait dire de faire une catégorie "homosexuelle" moué comme les rayon "voyages" ou "enfant" ba why not??ça pourrais etre plus pratique pour découvrir des auteurs mais bon ...rien de tel qu'un bon classique (huhuhuhu).non soyons serieu je trouve que ça serais une bonne idée mais je trouve pas ça scandaleux si yen a pas tant que je peux trouver l'auteur que je cherche.MMh d'ailleur tu pourrais pas m'indiquer un bon bouquin de lesbo pour passer le temps de révisons avec moins de difficultées ^^.MERCI

ben valà, si y'avait un rayon gay, j'aurais pas faire la bibliothécaire sur un forum.... lol
ça dépend ce que tu cherches alors je vais d'abord fourguer celui d'une pote vu que j'ai fait la critique !
voici mon copié-collé :

Une plume aérodynamite
en plein décollage...


C'est une journée ordinaire... Mais pas vraiment comme les autres.
Car :
J'ai le plaisir de vous annoncer la naissance d'une future grande auteurE
"Lez, Queer, féministe, open-minded de gauche".
Son premier livre : Les Lesbiennes.
Son nom : STÉPHANIE ARC. Vous le retrouverez demain et sans aucun
doute possible au sommet de l'affiche.


Voici comment tout a commencé entre son livre et moi. Dans la
librairie centrale de ma petite ville de province de 135 000 habitants,
quand j'ai vu ce bouquin rangé au rayon sociologie ethnologie,
j'ai flippé. Était-ce une nouvelle Marie-Hélène
Bourcier ? Un ovni propulsant un langage algébrique ?
J'adore les idées de MHB mais j'ai pas le bon décodeur
scolaire pour capter ses phrases que je dois relire au moins trois fois
avant de m'endormir dessus très vite ! - lol -
Enfin, elle a fait aussi un bouquin, en clair, mais je ne suis pas là
pour vous parler d'elle.

Eh bien non ! Le bouquin de Stéphanie Arc est d'une rare
clarté et je l'ai dévoré d'une traite dans le TGV
qui, d'ordinaire, a un fort pouvoir soporifique sur mes neurones. Puis
j'ai recommencé au lit pour jouir lentement du plaisir que j'ai
éprouvé après une première lecture. L'écriture
est rythmée, concise, percutante... et teintée d'humour.

En un mot, Stéphanie Arc expose, explose et vitriole toutes les
idées reçues sur les lesbiennes. C'est synthétique,
extraordinairement documenté, bourré... de références
très pertinentes, pêchées surtout pas au hasard
dans les recherches et matières qui se terminent en "- logis" !
Oups ! Lapsus ! "- ogie".

Pour vous mettre l'eau à la bouche, voici ce que j'ai relevé :
Sur le préjugé « Entre femmes, ce n'est pas
du sexe »... : « Quant au fameux point G,
si tant est qu'il existe, il est plus « accessible à
la stimulation digitale qu'au frottement du pénis »,
affirme le sexologue... ». Plus loin : « Pénétrative,
vaginale, clitoridienne, pansexuelle, ludique, orgasmique ou non, sado-masochiste
ou tendre, la sexualité entre femmes est bien une sexualité
à part entière, si par "sexualité" on
entend désir et jouissance, et non un accouplement en vue de
la reproduction de l'espèce. »

Puissant son raisonnement pour arriver aux lignes reproduites ci-dessus !
Quand je vous disais que ça réveille ! C'est pire,
c'est un excitant mis en page ce truc ! À Paris, où
j'avais RDV avec Miss Porno Chic, je suis arrivée toute chaude.

Toujours plus fort : le chapitre « C'est de naissance... » :
« Lesbienne ou hétérosexuelle ? La différence
réside dans... la longueur des doigts. C'est en tout cas ce qu'annonce
la revue américaine Nature en mars 2000. » Ce que
j'ai aussi apprécié, c'est qu'elle se la pète pas,
Madame Arc, pourtant chercheuse bardée de diplômes !
Quelle clarté dans sa déconstruction des préjugés
qui m'accablent et parfois me blessent.

Mais il y a quand même un bidule qui m'interpelle dans ce bouquin !
Si j'en crois les scientifiques qu'elle démonte - rires -,
j'aurais une main hétéro et l'autre goudou et je suis
carrément martienne hors catégorie !

J'ai aussi appris, à propos du comportement sexuel, que les Français
déclarent pour le nombre de partenaires au cours de leur vie :
11,3 pour les hommes et 3,4 pour les femmes. Mais le regard acéré
de Stéphanie s'empresse de nous guider avec doigté sur
la réalité des chiffres, des corrélations entre
le taux de testostérone et l'activité sexuelle pour arriver
par de savants détours à la grande question :

MAIS QUE FONT LES LESBIENNES AU LIT ?

Et de rebondir sur « Les lesbiennes font fantasmer les hommes »,
chapitre qui débute à Pigalle avec un verbe chic et choc
pour continuer par une très belle démonstration incluant
Sade, Baudelaire, Colette, etc., et nous conduire jusqu'à la
menace symbolique que les lesbiennes représentent pour la gent
masculine : « En l'absence d'hommes, les lesbiennes
deviennent aussi des personnages subversifs... » Et comme
c'est open-minded, elle parle aussi un peu de la sexualité de
mes cousins gays...

Mais il n'y a pas que ça dans ce condensé lumineux d'hypothèses
démantelant les idées reçues, y compris les miennes.
En avant pour la visite, titres de quelques chapitres/préjugés :
« Ce sont des garçons manqués »,
« Elles n'ont pas trouvé le bon », « Elles
ne devraient pas avoir d'enfants », « C'est la
faute des parents », « Elles devraient se faire
soigner », « On n'est pas heureuse quand on est
lesbienne », etc.

C'est aussi avec émotion que j'ai retrouvé une partie
de mon histoire que l'auteurE a fait surgir de ma mémoire :
en 1979, je fréquentais le MLF, même si je ne comprenais
rien à toutes les intellos qui m'entouraient et leurs mémorables
débats et crêpages de chignons autour de sujets tels que :
« Les féministes peuvent-elles avoir des relations
sexuelles avec les hommes ? ». J'avoue humblement qu'à
l'époque, je préférais l'atelier « Chacune
apporte son miroir pour apprendre à connaître son corps de femme
et se regarder le sexe accroupies en rond »... Que voulez-vous ?
Internet n'existait pas et il fallait bien squatter quelque part pour
faire des rencontres !

Avec Stéphanie, c'est magique ! Sans prise de tête
en un chapitre, elle retrace l'histoire de ce mouvement de lesbiennes
radicales qui a largement contribué à sortir les meufs
du carcan sociétale féminin.

Immédiatement après, elle développe l'idée
« ... qu'être homo n'implique pas de partager
ces idées, ni d'être engagée, pour la cause des
femmes... ». Oui, mes sœurs, aucune d'entre vous n'est
oubliée par l'écrivain. Les vieilles, les jeunes, les
fem, les bûcheronnes...

Ce que j'ai par-dessus tout apprécié, c'est la mise en
exergue du désir lesbien et féminin qui sert d'appui et
de catalyseur à chaque théorie. En toute simplicité,
sans aucune prétention. Alors je dis carrément :
ce livre mérite sa place au rayon "Éducation populaire".

Un seul bémol. Je pose en direct la question qui me titille :
« Madame ARC, pourquoi n'avez-vous pas écrit ce livre
il y a 25 ans ? Si je l'avais lu plus tôt, bien des réponses
auraient été apportées à mes questions sur
ma sexualité et sa place dans la société. Alors,
au boulot madame, j'attends votre deuxième chef-d'œuvre
avec impatience. Je suis pressée parce qu'il va falloir continuer
par les questions de genre que vous abordez déjà à
chaque coin de page et en filigrane dans ce premier livre. Aurais-je
deviné la suite ? Y en aura-t-il une ? Quels sont vos
projets ? »

En attendant la réponse... Yep ! Yep ! Yep ! Courez
vite acheter ce livre truffé jusqu'à la gueule de richesses
novatrices, offrez-le à vos parents, vos enfants, belle-maman :
leurs œillères vont tomber et tous cesseront de vous regarder
par le petit bout de la lorgnette. Offrez-le-vous pour vous aider à
lutter contre les a priori dont on nous affuble par ignorance.
Faites-en votre livre de plage, vous ne risquerez pas les coups de soleil
en vous endormant dessus. Ça décape grave corrosif et
en plus, c'est pas lourd, rentre aisément dans une poche et se
trouve dans toutes les librairies pour 9 euros - voire moins en
certains points de vente - (Editions du Cavalier Bleu, Collection
"Idées Reçues").

Et encore, merci Madame pour les moments de plaisir que vous m'avez
offerts. J'en redemande. Je suis gourmande et vous prie de continuer
de nourrir ainsi mon esprit.







Références
:
Les Lesbiennes
de Stéphanie Arc, Editions du Cavalier bleur (collection Idées
Reçues), 2006[/size]

sinon, un site où j'écrivais: Fées du logis

les féees du logis n'existent plus depuis 2006, pas de ML ni rien mais c'est bourré de référence....
Sinon, sur Mars... y'a la librairie qui ferme et elles conseillent bien :soutien de ma part donc lien :les mots pour le dire
mieux vaut tél... je ne sais si c'est déjà fermé et pas le temps de relire le site....et elles ne réponde pas aux mails, ça crève !
Bé, vraiment, des livres lez, y'en a plein, ça dépend ce que tu aimes....

En ce moment, la librairie branchouille parisienne, c'est ça et tu peux commander par net ou noter un titre : violette and co

Mais si tu t'égares là-dedans, je ne réponds de rien pour tes examens....

ce qui me scandalise, c'est le rayon psy !

oui sur ce coup le rayon psy j'hallucine mais t'as vérifié au moins car c'est vraiment limite...

Je n'ai pas pris le temps de poster mais effectivement j'avais envie de réagir à tout ça..
Par rapport au rayon psychiatrie, psycho ect, je pense que la personne qui a répondu à trucmuch n'entendait pas homosexualité comme culture gay roman et littérature gay mais le très serieux et
pas forcément discriminatoire sujet de psychologie et de psychiatrie qu'est l'homosexualité.
Aujourd'hui le politiquement correct ne permet pas à une telle bibliothèque d'ériger l'homosexualité
comme maladie ou comme mal.

Par contre deux remarques :

Premièrement, ce fameux politiquement correct est avouons le une forme d'avancée car c'est le premier pas où on fait semblant qu'il n'y a pas de problème ou qu'il ne devrait y en avoir avec l'homosexualité, ce n'est pas une fin en soit mais un pas... Mais.. Ce politiquement correct amène a des situations de négation de l'homophobie, on entend de plus en plus "oh faites pas ch*ier vous les gays vous êtes intégrés, vous avez le pacs, plus personne casse du p*édé, vous placez pas en victime, je comprends pas que ce genre d'asso existe encore.." et malheureusement oui l'homophobie est toujours présente et pas que dans les pays souvent montrés du doigt, maghreb afrique ect non aussi chez nous en France, à Aix.. Rappelons que deux de nos adhérentes ont récemment été agressées dans la rue des
cordeliers, à 22h30, un vendredi...
alors le politiquement correct pourquoi pas, si ca permet de ne pas entendre des Vanneste tous les deux jours dans l'actualité mais que cela soit utilisé pour nier le problème : non, justement..

Deuxièmement, on peut déplorer, l'incapacité de la Méjanes, grande bibliothèque d'une grande ville, ville d'eau ville d'art ville de culture... d'avoir un rayons culture Gay. La culture gay existe, est fructueuse, on ne peut l'ignorer au non de quelque principe ou idée ou même raison de classement que ce soit. Aussi, une bibliothèque peut être un support, une aide pour un jeune (ou moins jeune) gay perdu, en mal de repères, se découvrant, ayant besoin de comprendre, de se comprendre, de dédramatiser le fait de se découvrir gay, avant de se tourner vers les boites de nuit, le risque de tomber sur des gens mal intentionnés, le suicide ou la tentative, et tout ce qu'un gamin perdu peut faire comme erreurs car se retrouvant seul face à un "problème" difficile à gérer.
C'est aussi une des problématique de l'éducation, des bibliothèques, des institutions.
Et en cela, la Méjanes passe à coté de son rôle formateur, éducateur et instructeur.


Je vais sûrement m'entendre dire que je vais loin quand je dépeins le tableau du jeune gay qui se cherche, oui ce n'est pas le cas de tous et pas le cas de la majorité mais c'est beaucoup plus fréquent chez les jeunes homos qu'hétéro.. le problème est donc présent et important et
je vous assure que j'en connais personnellement, c'est triste..
Et c'est la preuve que ces personnes se sont retrouvées profondément seules et dépassées par ce qu'elles découvraient en elles.
Alors oui, c'est un problème qu'il n'y ait pas de rayon gay à la Méjanes!

Cependant, cela vous choquerait s'il y avait un rayon noir ou arabe donc le fait de ne pas mettre dans une case spéciale pour les gays peut être aussi une forme d'intégration..

Je ne sais pas, je pense qu'aujourd'hui le rayon gay peut être une bonne chose mais pas une fin en soit.. car quand on sera invisibles c'est qu'on sera intégrés (laissez moi réver svp!!)...


A ce propos, tout cela m'a fait pensé que FAG pourrait si cela vous tente s'atteler à soulever, non pas agressivement mais pour engager le dialogue, ce genre de problème. Concrêtement par exemple dans ce cas là, près avoir vérifié et quantifié le manque à la Méjane, FAG pourrait sollicité les personnes compétentes pour les amener à réfléchir sur le problème précedemment exposé..

J'attends votre avis...

je comprend que des bibliotheques n'aient pas de rayon gay. Après tout ranger tout les bouquins ayant trait à l'homosexualité de près ou de loin dans une etagère serai impossible et un tel tri s'avererai difficile à faire. En gros c'est une bonne chose que de mettre les romans gay dans la catégorie roman, les etudes de Foucault parmis les bouquins de socio, etc.

N'oubliez pas que les bibliothèques sont des lieux publique et n'ont donc pas à operer ce genre de classement. Après tout la france ne reconnait qu'un seul peuple et il ne serai pas convenable de demander des exceptions à tour de bras. Notre combat est celui de l'egalité, pas du privilège!

Que FAG fasse une mediatheque n'est donc pas choquant: pour moi le but d'une association est de completer une action publique nottament en ciblant des groupes, ou sous-culture (nous allons la ou l'administration ne peux se permettre d'aller) puisqu'elle est legitime en la matière. ex: acceuil et ecoute des etudiants LGBT acceptant mal leur orientation sexuelle; Je reste persuadé qu'une assoc telle que FAG est plus à meme de traiter ce genre de sujet que l'infirmière de la fac.
Cet exemple peux egalement s'appliquer à la prevention IST et aussi à l'acces à la "culture LGBT" (à titre personnel je ne considère pas ca comme une culture au sens noble du terme mais c'est un tout autre débat). L'existence le libraires specialisé reflete celà... comme quoi l'initiative privé peux meme prendre le relais des associations quand elle veux bien!

Je suis plutôt d'accord avec kevin, qui tient exactement (pour information) le même discours, sans en avoir discuté que s**hie hut**r avec qui j'en ai moi même parlé..

Par rapport à l'accueil et l'écoute oui fag est sûrement plus à même que l'infirmière a traiter d'homosexualité MAIS faisons gaffe en permanences à l'effet de groupe, à l'effet on fait des privette jauke entre nous et les petits nouveaux ou ceux qui n'osent pas venir sont perdus au milieu de tout ca.
Faisons attention à ne pas faire d'erreurs, pleines de bonnes intentions mais soulignons que nous n'avons aucune formation ni à l'écoute ni au conseil que nous sommes capables de faire des erreurs car nous intervenons sur un sujet sensible, toujours sur le fil du rasoir.
Aussi l'infirmière de la fac, est premièrement, pleine de bonnes intentions, notamment au sujet de l'homosexualité, mais aussi elle est formée à l'accueil et à l'écoute, même si ce n'est pas particulièrement au sujet de l'homosexualité, je suis sûre qu'elle a un net avantage sur nous la dessus.
Le CA de FAG, en accord avec les nombreuses discussions que nous avons eu sur ce manque de formation sera, l'année prochaine en recherche de ces formations afin qu'elles bénéficient à FAG.

J'en profite pour faire passer quelques messages..
Au sujet de l'accueil des étudiants, des personnes intéressées, pensons que ce n'est pas pour aider si les personnes qui font leurs permanences passent 60% de leur temps de permanences dehors à fumer, si on a droit à la porte fermée sous pretexte qu'il fait chaud qu'il fait froid ou qu'il y a des courants d'air.... j'en passe..

Nous agissons sur un sujet difficile, par le regard des autres mais aussi pour la personne elle même. Nous avons eu de nombreux témoignages de gens qui nous disaient avoir mis 6 mois a venir, avoir changé d'avis 3 fois, certains nous ont dit que nous avions l'air fermés, impressionnants, alors oui je sais les gens ont peu de mal a critiquer et nous aurons toujours des critiques mais faisons en sorte de les parer au maximum..
Nous avions parlé en réunion de faire une permanence avec seulement deux adhérents et uniquement l'accueil et l'écoute ce qui inciterait les nouveaux à se présenter plus en confiance que lorsque le local est assailli par 10 glands en train de hurler à propos d'un truc à hurler de rire sur le net (je me compte dans les glands.. ). Je pense que c'est une bonne solution pour commencer à intégrer les gens..

On attends votre avis..

ps : ne voyez rien comme une attaque personnelle... je suis un gland aussi

Bien dit Coin coin, j'ai rien à dire tout est dit dans ce qu' a jouté Coin mis à part le fait qu'il m'est déjà arrivé de me faire voir comme un animal apprivoisé lorsque j'ai demandé à la bibliothécaire à Lyon le rayon Gay et Lesbien... Enfin quand je me suis rendu dans le rayon, elle n'a pas arrêté de me fixer avec un regard méfiant voire étonné... alalala je vous jure ces gens qui ne comprenne rien à la vie ^^'